Si vous avez déjà pensé à engager des escortes sexuelles, il y a certaines choses que vous devez savoir. Tout d’abord, vous devez savoir qu’il existe différents types d’escortes sexuelles. Il s’agit d’escortes féminines et masculines, et il est important de réfléchir au type que vous préférez. Vous devez également réfléchir au montant que vous pouvez vous permettre de payer.
La misogynie dans la prostitution
La misogynie dans les escortes sexuelles a été un sujet de discussion dans la communauté féministe. La plupart des féministes qui s’opposent au commerce du sexe soutiennent l’abolition. Bien que l’abolition n’ait pas encore été promulguée, un certain nombre de pays se sont engagés dans cette direction. En fait, la Suède a été le premier pays à adopter des politiques abolitionnistes. Plusieurs autres pays ont depuis suivi le mouvement. La dernière tendance est à la criminalisation des prostituées.
La misogynie chez les sex-escortes est une question complexe. L’une des meilleures façons de l’aborder est la réglementation. Une industrie réglementée sera plus à même de protéger les travailleurs de la violence accidentelle. En outre, les employeurs seront davantage incités à traiter leurs employés avec respect. En revanche, il sera plus difficile de définir ce qui constitue un harcèlement sexuel dans le contexte du travail du sexe.
En outre, une industrie de l’escorte sexuelle réglementée bénéficiera également d’une meilleure formation et d’une meilleure éducation. Et ce, non seulement pour les travailleurs concernés, mais aussi pour les clients qui viennent les voir.

Les minorités ne sont pas des travailleurs du sexe
La perception générale est que les minorités sont des travailleurs du sexe. Cela est dû en partie à la stigmatisation du travail du sexe. Cependant, il existe d’autres formes de stigmatisation qui affectent les identités marginalisées.
La stigmatisation du travail du sexe est le produit d’une série de facteurs sociaux, politiques et économiques. Elle opère à des niveaux micro et macro et peut conduire à la criminalisation du sexe. Dans un contexte plus large, les approches de l’exploitation du travail fondées sur les droits de l’homme peuvent contribuer à faciliter le changement de système.
Aux États-Unis, la Denver Prostitution Initiative a étudié les expériences des femmes travaillant dans l’industrie du sexe. L’étude comprenait un groupe de discussion et des entretiens approfondis. Une participante était aborigène et une autre était une insulaire du détroit de Torres.
Une initiative similaire a été menée en Australie. Une équipe de recherche et de sensibilisation comprenait des travailleurs du sexe. Les participants potentiels ont été recrutés par le biais de références de réseaux sociaux et d’organisations qui travaillent avec des travailleurs du sexe.
La santé émotionnelle est plus à risque que la santé physique ou sexuelle
Les conséquences émotionnelles de la vente de sexe préoccupent de nombreuses femmes qui travaillent dans l’industrie du sexe. Il s’agit notamment de gérer le sexe comme une forme de travail et de faire face à des rencontres sexuelles qui pourraient déboucher sur la violence. Il est également important de considérer l’impact que ce type d’activité peut avoir sur d’autres domaines de la vie.
Des recherches ont montré que la prostitution est associée au syndrome de stress post-traumatique (SSPT), à la dépression et aux troubles alimentaires. Les femmes travaillant dans l’industrie du sexe doivent développer et mettre en œuvre des stratégies émotionnelles pour rester en sécurité dans une sphère publique.
Une étude sur les travailleurs du sexe dans 33 pays a révélé que ceux qui sont soumis à une police répressive sont deux fois plus susceptibles d’avoir le VIH et d’autres MST. Le maintien de l’ordre répressif comprend l’arrestation, la confiscation des seringues, le déplacement vers une autre zone, l’emprisonnement et la violence physique ou sexuelle de la part des agents de police.
Extorsion d’actes sexuels par la police
L’extorsion d’actes sexuels par la police à l’encontre des femmes dans l’industrie du sexe est un phénomène alarmant qui doit être abordé. Cette forme de violence sexiste est souvent sous-déclarée, et les travailleuses du sexe sont souvent victimes d’agressions physiques, d’abus verbaux et de meurtres.
Il existe une énorme différence de pouvoir entre la police et les civils. La police dispose d’un pouvoir discrétionnaire sur les individus, et peut souvent arrêter ou harceler des personnes sans raison. Ces actions policières trahissent la confiance de la communauté.
Dans certains pays, les agents des forces de l’ordre sont en mesure d’établir le profil des femmes de couleur en tant que travailleuses du sexe et de les soumettre à des violences physiques et sexuelles. Par exemple, aux États-Unis, les policiers sont connus pour dresser le profil racial des femmes immigrées qu’ils considèrent comme « hautement sexualisées » et « sexuellement disponibles ».